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Que connaissons-nous vraiment du monde de la finance ?

En septembre 2008, l’effondrement de la banque tentaculaire Lehman Brothers a mis le système financier mondial sur les genoux. Il a fallu verser des aides aux proportions gigantesques, financées par le contribuable, pour renflouer toute l’industrie bancaire. Quand bien même, la crise qui a suivi a vu ce qui était déjà un sévère ralentissement se transformer en la pire récession des 80 dernières années…

Avec 5 ans de recul, le constat est clair : la crise avait de multiples causes. La plus évidente étant les acteurs du monde de la finance eux-mêmes, et notamment ceux à l’irrationnelle exubérance de type anglo-saxon, qui ont affirmé avoir trouvé un moyen d’éliminer les risques alors qu’en réalité, ils avaient simplement perdu la trace de ces menaces.

Trader, un mot que nous utilisons tous depuis 5 ans

La crise ayant fait la une des tous les supports d’information, nous avons été confrontés à un vocabulaire qui jusque-là tenait pour la plupart d’entre nous d’un jargon financier réservé aux spécialistes. Et ce d’autant plus que la déferlante médiatique a été ensuite relayée par le monde politique pour se transformer en véritable chasse aux sorcières visant le responsable de tous les maux : le trader -ou courtier dans sa version française.

Dès lors, petit à petit, au fil des discussions autour de la machine à café, des concepts tels que « prime de risque », « marché de la dette », ou pour les plus érudits « courtier de Forex ECN », sont devenus partie intégrante d’un langage économique se démocratisant et devenant de plus en plus accessible.

L’arbre qui cache la forêt

Cependant, derrière une apparente simplicité qui relève d’une familiarité récemment acquise avec le sujet, se cache un monde que nous savons bien plus complexe. Il est vrai qu’aujourd’hui de nombreux blogueurs affichent des méthodes pour investir et s’enrichir, et offrent d’apprendre rapidement tous les principes de la bourse.

Contrairement à ce que nous laisse penser notre connaissance de la couverture médiatique de la crise économique, les mécanismes d’investissement sont plutôt compliqués, et surtout imprévisibles ! Et il n’existe pas de formule magique pour brûler les étapes et se transformer en trader amateur accompli.

Il est donc essentiel, lorsque l’on souhaite se mettre à investir en bourse, de s’entourer du soutien de professionnels qualifiés.

Poussons les portes du Forex

Le Foreign Exchange, ou marché des changes, est le marché boursier sur lequel les devises, que l’on dit « convertibles » sont échangées les unes contre les autres, et ce à des taux qui ne cessent de varier.

Pourquoi devoir passer par un courtier intermédiaire entre l’acheteur et le vendeur lors d’une transaction au Forex ? Simplement parce que l’on doit être officiellement autorisé à exercer ses activités de trading.

Qu’est-ce donc qu’un courtier de forex ? Il s’agit d’une entité (une société d’investissement par exemple) ou d’une personne physique opérant sur le marché financier et le Forex est précisément l’un des plus grands de ces marchés. Il est aussi le plus souple, le plus rapide, et le premier pour la liquidité des produits les plus traités.

Pour en maîtriser tous les concepts et le fonctionnement global de ce marche, d’en comprendre toutes les subtilités, il n’y a qu’une façon de faire : s’y exercer. Notons que pour les débutants, les courtiers de Forex en ECN (pour Electronic Communication Network ) offrent généralement les meilleurs prix et de nombreuses informations qu’ils obtiennent en raison de leurs relations avec les banques et les autres types de courtiers.

5 raisons de devenir un storyteller, que l’on soit salarié ou candidat

Avez-vous déjà songé à utiliser le storytelling pour booster votre carrière ?
« Le story… quoi ?! » me demanderiez-vous.
« Le storytelling » ou l’art de raconter des histoires pertinentes et informatives pour mieux vendre un produit ou manager plus facilement une équipe.
Mieux qu’un long discours ou qu’un slogan commercial aux ficelles grossières, le storytelling intègre une situation dans un contexte connu de votre interlocuteur tout en faisant appel à ses émotions. Ce concept marketing performant a également fait ses preuves dans le domaine du management de carrière, comme dans celui d’une réponse à une offre d’emploi.

Voici 5 bonnes raisons de devenir le storyteller de votre parcours professionnel.

1. Adeptes du storytelling, illustrez votre réactivité et votre adaptation au marché actuel

En délaissant le traditionnel CV pour un storytelling bien enlevé, vous montrez à votre hiérarchie ou à vos recruteurs que vous maîtrisez cette technique actuelle. Cela suppose que vous exercez une veille régulière des nouvelles pratiques qui structurent votre profession et que vous n’hésitez pas à vous former pour mettre à jour vos compétences. Une attitude proactive quoi !

2. Vous instaurez une communication individualisée avec votre employeur/recruteur

Le storytelling se démarque par sa capacité à s’adresser non plus à des masses, mais à des individus. Il rejoint en ce sens la tendance d’un marketing de plus en plus personnalisé. Vous ne présentez plus votre parcours à un ensemble de recruteurs lambda, mais vous proposez une histoire adaptée à chacun d’entre eux. Votre candidature ‘storytéllée’ se distingue par son format original, très convivial et allant droit au but.

Même stratégie au sein d’une entreprise : le storyteller va tenter de faire valoir ses compétences en prenant en compte les valeurs importantes pour chacun de ses employeurs. Vous instaurez ainsi une communication plus respectueuse de vos interlocuteurs et de leurs attentes.

3. Vous montrez que vous connaissez les contraintes de l’entreprise

Le storytelling fait appel à la pédagogie et aux émotions pour transmettre un message. Si vous souhaitez solliciter une promotion, vous allez contextualiser un ou plusieurs projets que vous avez portés au sein de votre entreprise : votre employeur retrouvera des dossiers connus et percevra les compétences (parfois ignorées) que vous avez dû déployer pour parvenir à leur réalisation pleine et entière. Par votre récit, vous illustrez également les contraintes que vous avez rencontrées ou celles qui se feront jour prochainement au sein de l’entreprise.

Une manière de souligner votre bonne connaissance des enjeux internes et externes inhérents à votre activité : vos employeurs perçoivent un salarié non pas isolé dans ses tâches hebdomadaires, mais parfaitement conscient des préoccupations de l’équipe dirigeante.

4. Vous n’ignorez pas vos faiblesses

Place à la vulnérabilité ! Le storytelling s’adresse à l’individu, dans son intégralité. Un employé ou un candidat qui connaît ses points forts comme ses limites est souvent rassurant. Bien plus habile qu’une énumération de défauts, avec le storytelling vous effleurez vos faiblesses en les intégrant dans un contexte précis. Ce faisant, vous démontrez comment vous êtes parvenus à les dépasser. C’est une approche particulièrement utile pour valoriser notamment l’emploi des quinquagénaires.

Nous ne sommes pas des super héros de notre métier, en avoir conscience est un signe de maturité, mais aussi une qualité pour devenir un bon manager d’équipe.

5. Vous valorisez l’humain, riche de promesses

Après l’ère de la pression tous azimuts, de nombreuses entreprises – notamment celles spécifiques au web – ont remis l’humain au centre de leur activité. La valorisation de l’individu reconquiert lentement la culture d’entreprise.
Grâce au storytelling vous vous inscrivez dès aujourd’hui dans cette mouvance. En racontant votre expérience professionnelle de votre point de vue, vous invitez votre hiérarchie à écouter votre message et parfois à revoir ses positions (sur l’apport des femmes aux postes à responsabilités par exemple). De même, dans le cadre d’une offre d’emploi, votre vision personnelle d’un service à reprendre en main peut avoir un effet décisif lors de l’étude de votre candidature…

Alors, prêt à devenir le storyteller de votre parcours professionnel ? Vous verrez, rien n’est jamais écrit dans une carrière ! J’en sais quelque chose !